Laure/Laure-Marie Stasi, unique Présidente de l'Association de loi 1901 créée par moi en 2014 à la Préfecture de N. ; Bureau en cours de refonte depuis le décès de Mme ma mère Jo. Stasi-Genevois et le départ des autres membres comme VVT , slaure
Prologue: Témoignage sur la diplomatie à l'hôtel de Béhague-Béarn (page 3)
(...) Alecse par voie de courrier postal depuis un... hôpital psychiatrique où nous avons été enfermée sur la foi de médisances et de calomnies et de complicité aggravée avec les Rosenberg, les Servan-Scheriber et la mairie sarkozyste. A notre sortie, pour récompenser la municipalité, une exposition d'art brut raté a eu lieu au Musée du Louvre avec une trentaine d'oeuvres (Eric Pays, Var ?) du petit C.M.P. en lien avec H.P. Erasme dans les Hauts-de-Seine ou nous habitons et sommes propriétaire. Nous sommes en 2024 et tout a été confirmé, l'illégalité des procédés egalement et je suis reconnue saine à Paris mais harcelée. Cela effraie.
Nous avions déjà rédigé ce courrieroù était dit que la Farnce avait accepté de payer la moitié du montant de la restauration de la Salle dans un courrier en 2003 à destination de Bucarest où était Ciausu mais sa femme avait omis de répondre. Il souhaitait pourtant qu’elle brille déjà à l’ambassade en s’occupant d’un guide sur l’hôtel que nous avons rédigé avec une petite participation de l’architecte en chef Mouton. On nous a fait savoir que l’affaire du financement de la restauration vient subitement de progresser avec l’arrivée d’un nouvel architecte en chef (Manciulescu qui se serait installé un bureau à l’ambassade) qui nous a contacté à la demande de Pingeot pour nous demander les documents déjà versés à l’ambassade et dans les bibliothèques parisiennes depuis 2003. Nous lui avons envoyé une marche à suivre et elle a brillé 6 mois mais sans résultat pourtant.
Le travail accompli avec la Roumanie, notre amie, est considérable. Nous avions été autorisée à publier une page sur la Salle byzantine en juin 2000 par une grande revue d’art française afin de faire connaître la salle et faire appel au mécénat pour sa restauration avec l’accord de l’Ambassadeur Ciausu qui mit quelques mois auparavant sur pied un concert Salle Gaveau (29 novembre 1999) avec notre concours et celui de Simona, mais, enfin, en 2016, à l’occasion des Journées euro- péennes du patrimoine, Le Figaro après la revue roumaine Regard 51 et Le Monde tous deux en juin 2011 – s’intéresse à la Salle byzantine et la recense parmi les dix joyaux du patrimoine méconnus ou secrets, sur les 17 000 monuments ouverts ! C’est une résurrection qui se joue depuis notre départ forcé avec Simona Bucur, revenue depuis et en silence dit-on ! :-)
La salle a pourtant été vandalisée en 2002 par la même femme attachée à la culture de l’Ambassade, devenue première ministre conseiller après cela, qui a essayé une « restauration » très économique pour son pays qu’elle « servait » en utilisant de la peinture couleur or en bombe aérosol projetée sur la feuille d’or des murs ! qui nia tout avant de faire volte-face en accusant... des enfants d’avoir repeint la salle ! Aussitôt après l’acte – ridicule – de vandalisme d’un patrimoine qui nous est commun, des rumeurs s’exprimèrent dans l’ambassade selon l’Ambassadeur. On murmurait avec humour que l’État roumain souhaitait faire de la Salle byzantine une « boite de nuit » (C. A.). Il ne manquait que les « boules à facettes » selon l’excellent ambassadeur Dumitru Ciausu ? Cette rumeur aussi plaisante soit-elle fait bien comprendre que cette femme était pourtant plébiscitée par le ministère en charge à Bucarest (la « Centrale » comme l’appelait le personnel) mais non par l’ambassade avec Dumitru Ciausu devenu dissident pour le bien de son pays ! Auparavant, on entendait dire que la femme allait « gratter l’or des murs du théâtre pour le faire parvenir à Bucarest par la valise diplomatique et augmenter ainsi la richesse de son pays quitte à repeindre ensuite la salle » ! Ce n’était qu’une rumeur mais elle en dit long sur ce qui se produisait inéluctablement à l’ambassade. Mentir et nous espionner, Simona Bucur et moi, me menacer de gifles par deux fois qui suis française pour d’obscures raisons qu’elle seule connaît, profitait à cette femme dont le pouvoir augmentait malgré sa méconnaissance et même son ignorance. L’ambassadeur honnête et remarquable Dumitru Ciausu nous a dit qu’elle était devenue « l’araignée, la veuve noire de l’ambassade » ? Alecse le dira.
Dans la Salle byzantine, la tache de peinture a été effacée, nous l’avons constatée il y a peu d’années. La femme était expressément chargée du dossier de restauration auprès du Ministère des affaires étrangères à Bucarest et fut gratifiée pour s’être occupée de ce seul dossier après le départ en retraite de Ciausu. Pourtant, l’Ambassadeur Ciausu avait refusé de lui donner une seule mission à cause de son « incompétence » ! « Elle dort toute la journée ! » disait-il à qui voulait l’entendre c’est-à-dire Simona Bucur et moi mais elle est aujourd’hui ambassadeur! J’avais demandé un compte transparent pour recueillir les premiers fonds car les affaires de corruption en Roumanie faisaient rage dans la presse ce qui avait été accepté avec enthousiasme sauf par la femme qui a demandé à s’en charger. Que s’est-il passé ? Je n’ai jamais eu les références du compte et put les donner aux personnalités souhaitant donner sans se montrer ! Le lendemain du forfait à l’aérosol, l’architecte assistant présent sur le chantier quasi quotidiennement après avoir prévenu l’Architecte en chef, et moi-même, étions dans le bureau de la Veuve noire bien mariée à un autre diplomate tout aussi inquiétant et qui lui aurait appris la diplomatie dans leur cuisine selon le personnel et grâce à un unique manuel épais qu’elle m’a décrit mais qu’elle n’avait lu qu’a demi selon elle qui croyait que les menaces de coups à mon égard – puisqu’elle était devenue premier ministre conseiller de l’Ambassade – était permis du moment que la police n’entrait pas dans l’Ambassade ! Je l’ai pourtant menacé d’appeler la police qui pouvait très bien stationner devant la porte rue de l’Exposition et créait un incident et secourable incident diplomatique précédent celui du Sheikh Saud bin Muhammad bin Ali Al Thani (28 février1966 – 9 novembre 2014), vizir des monuments artistiques au Qatar dont nous conservons une unique lettre et qui a bien voulu signer comme Président d’honneur de notre fondation « Les amis de Martine de Béhague » début 2004 dont les statuts ont été déposés à la Préfecture de notre département, Nanterre ! Le Sheikh -mis à la porte de la Farnce par Rosenberg lui ayant menti une année tout au plus avant sa mort car il refusait de rediger une préface pour une monographie et un catalogue des collections collectif, je présente mes mille et une excuses pour ma naïveté, Qatar ! Salam - était également élu le premier collectionneur au monde, un esthète au goût savant et raffiné tout à fait exceptionnel, littéralement passionné par son égérie en matière de collection, Martine de Béhague. Il était arrivé en voiture blindée avec gardes du corps armés de téléphones portables très modernes ne cessant jamais de hurler des sonneries cosmiques, venu en jet privé de Londres avec Mr Hoo (connu de la marquise Philippine de Ganay qui se plaisait à me donner son nom comme un "hou" de désapprobation), un marchand londonien d’objets islamiques et qui aurait entraîné avec lui le Prince dans d’indignes malversations d’achats pour le musée de Doha (des bijoux) selon la presse française. Cependant sa passion sincère, réelle, pure pour l’art et Martine de Béhague n’était pas tarie peu avant son décès accidentel à Londres. Lors de la visite, il avait retrouvé une rare bonne humeur dit-on et trouvé le palais « gorgeous » après avoir piétiné avec nous vainement et une descendante devant le 123 rue Saint-Dominique dont les larges portes étaient coincées mysté- rieusement par quelque ange salvateur car on m’avait interdit – la Veuve noire – de sonner sous prétexte d’être expulsée manu militari et les portiers devaient eux-mêmes apercevoir le Sheikh râlant de colère devant la porte le poing dressé car la Roumanie humiliait son rang et son pays en arabe ! Les portiers finirent-ils par voir la voiture blindée de luxe stationnant depuis treize minutes par leurs petites caméras? Un portier finit par lui ouvrir la porte, la petite à droite, et il entra furieux et me demandant en anglais ce que c’était que cette affaire-là ? La descendante que nous avions conviée ricanait derrière notre dos mais nia tout à sa mère digne épouse et descendante de Marie-Laure de Noailles et des princes de la Roumanie ancienne que connaissait déjà notre amie et jalouse Simona qui avait déjà pris à plusieurs reprises le thé avec moi chez la grande dame de l’aristocratie européenne ! Elle s'occupait de la presse mais n'a jamais réussi à introduire un seul article et s'est répandue en 2003 en conjonctures sexuelles sur Ciausu... à tort mais elle sera la nouvelle ambassadrice ? :-) Quand nous étions à l’ambassade, le pays était alors à deux vitesses – comme on dit – depuis les déportations de Ceaucescu, des personnes qualifiées et zélées et d’autres plus « discutables » dit-on comme cette femme ambassadrice actuellement et qu’il convient actuellement d’« éviter » selon les personnes en place ou celles de la bonne société roumaine. Elle ne lirait que le journal quotidiennement dans ses bureaux plus confortables que son ex-cuisine ! Ce décalage dont me parlait mon amie Simona est important même au sein d’un lieu aussi sensible qu’une ambassade, un lieu et des équipes que j’ai toujours souhaité aider et aimer. La mise en place d’une restauration fut souvent entravée et la réalisation du projet n’a toujours pas abouti mais nous avons livré nos résultats !
Nous espérons qu’à présent, une autre équipe sera mise en place pour rechercher l’argent nécessaire à la restauration du toit de l’hôtel dont l’état pourrait être mieux défini et celle de la peinture abîmée de Casanova ainsi qu’on le voit sur les photographies déjà parues et, bien sûr, la restauration de la Salle byzantine à moins que les résultats de mécénat ne soient déjà un succès mais on m’a dit en 2016 que ce n’était pas alors le cas !
Nos résultats livrés en 2017 ont-ils modifié le cours des évènements? Une société avait pourtant été fondée (statuts déposés à la préfecture de Nanterre en 2004) avec le Sheikh, les descendants, deux anciens directeurs du musée du Louvre (les 2 mêmes :-) ) et moi comme expert spécialiste pour préserver les œuvres de Martine de Béhague et donc protéger le Palais d’une restauration mal menée. Cependant rien n’avait été fait par le dernier ambassadeur avant celui actuel que nous ne connaissons pas pour réunir l’argent.
La salle sera-t-elle enfin restaurée un jour malgré l’absentéisme réputé général ? Ne faudrait-il pas établir un état des lieux durement dégradés par la tempête selon trois dirigeants de l’ambassade successifs, un état des lieux précis demandé pourtant également par certain architecte de son équipe (l’honnête assistant qui demanda, excédé, s’il fallait « loger le personnel diplomatique dans des tentes plantées dans le jardin ») et un devis pour la toiture de ce remarquable hôtel ? Faisons un rêve...
La Salle byzantine était pourtant et avant tout un endroit d’amitié et de paix comme l’avait consacrée Martine de Béhague qui avait voué sa salle aux arts. L’endroit est actuellement le reliquaire de l’activité de la comtesse de Béhague, reine du plus bel hôtel fin de siècle de Paris depuis la destruction du Palais Rose. À présent, il convient de replonger dans notre passé et de se demander qui était Martine de Béhague, comtesse René de Béarn et pourquoi elle conçut ce lieu monumental et exceptionnel que l’on peut deviner avoir été splendide. Nos publications dès 2000 ont commencé à la mettre enfin en valeur. Nous pouvons aujourd’hui dire merci !
Laure STASI, Chercheur de niveau universitaire et Diplomate, Chanoinesse de Notre-Dame de Paris nommée par Mgr Aaron Jean-Marie Lustiger un an avant sa mort, etc.